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𝐀𝐏𝐖 𝐝𝐞 𝐁𝐠𝐚𝐲𝐞𝐭 : 𝐏𝐚𝐬𝐬𝐢𝐯𝐢𝐭𝐞́, 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐥𝐢𝐜𝐢𝐭𝐞́ 𝐞𝐭 𝐚𝐯𝐞𝐮 𝐝’𝐞́𝐜𝐡𝐞𝐜

𝐀𝐏𝐖 𝐝𝐞 𝐁𝐠𝐚𝐲𝐞𝐭 : 𝐏𝐚𝐬𝐬𝐢𝐯𝐢𝐭𝐞́, 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐥𝐢𝐜𝐢𝐭𝐞́ 𝐞𝐭 𝐚𝐯𝐞𝐮 𝐝’𝐞́𝐜𝐡𝐞𝐜

Le constat dressé par l’APW sur les chantiers bloqués et les infrastructures abandonnées n’est pas une dénonciation : c’est un aveu de d’échec.

Pendant 28 ans, le FFS et ses alliés du FLN ont présidé et dirigé cette assemblée, avec tous les moyens, la confiance populaire et la légitimité institutionnelle. Pendant 28 ans, ils avaient les leviers pour agir. Aujourd’hui, ils reconnaissent l’ampleur des retards, des blocages et des scandales. Mais qu’ils le disent clairement : cette faillite, c’est la leur.

– 𝑸𝒖𝒊 𝒅𝒆𝒗𝒂𝒊𝒕 𝒄𝒐𝒏𝒕𝒓𝒐̂𝒍𝒆𝒓 𝒍’𝒂𝒗𝒂𝒏𝒄𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒅𝒆𝒔 𝒑𝒓𝒐𝒋𝒆𝒕𝒔 ?

– 𝑸𝒖𝒊 𝒅𝒆𝒗𝒂𝒊𝒕 𝒊𝒏𝒕𝒆𝒓𝒑𝒆𝒍𝒍𝒆𝒓 𝒍𝒆𝒔 𝒂𝒅𝒎𝒊𝒏𝒊𝒔𝒕𝒓𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏𝒔 ?

– 𝑸𝒖𝒊 𝒅𝒆𝒗𝒂𝒊𝒕 𝒆𝒙𝒊𝒈𝒆𝒓 𝒅𝒆𝒔 𝒄𝒐𝒎𝒑𝒕𝒆𝒔 ?

Eux, et personne d’autre.

Après trois décennies de gestion, venir dénoncer, c’est avouer avoir été complices autant que spectateurs.

Pointer du doigt des lenteurs quand on avait le pouvoir d’agir, c’est se moquer du peuple.

Pendant 28 ans, cette APW a trahi sa mission.

Elle a choisi le confort du silence au lieu du courage, l’accompagnement passif au lieu du combat. Résultat : des blocages, des retards accumulés et une wilaya abandonnée et les problèmes non résolus.

Ce qui est présenté aujourd’hui comme une dénonciation est en vérité une auto-condamnation. En reconnaissant les retards et les blocages, ils avouent leur incapacité à transformer la confiance populaire en résultats.

Le peuple n’a pas besoin d’élus spectateurs. Il a besoin de représentants qui agissent, qui assument et qui imposent des solutions réelles. Après 28 ans, accuser “les autres” n’est plus une excuse : c’est la preuve d’une faillite totale, politique et morale.

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